Alvyss arrive dans le hall.

J'entrai et redécouvrai le hall. Ce grand hall dans lequel il y avait tant de surprises.
Vu que mon physique a totalement changé, j'ai décidé de faire un nouveau depart, j'ai décidé de me faire passer pour un élève.
J'avais surtout pensé que revenir en tant qu'eleve grace a mon nouveau physique, je pourrai enfin passer mes jourées avec Mizumi, enfin quand je serai pas en cours, puisque quand je serai en cours je serai avec les premiere années.
Comme d'habitude, personne n'etait la !
Le hall était JAMAIS vide, SAAAAUF quand un nouveau se pointait.
J'attendais donc.

Mizumi avait retrouvé sa joie de vivre en apprenant que son chéri revenait à l'école. Seulement, elle avait oublié de demander quand il allait revenir. Elle prit son violon et décida d'aller jouer. Elle voulait s'entrainer pour montrer son amélioration à son chéri d'amour. Elle descendit les escaliers avec un grand sourire. La jeune femme était tellement perdue dans ses pensées qu'elle rentra dans quelqu'un. Elle s'excusa et releva la tête. Tiens c'était le type de tout à l'heure.

- Pardon.

Dans le vide du hall il fallait que ce soit elle... Elle me rentra dedans. Puis s'excusa.

- Ce n'est rien.

Je rougis

*Elle peut me rentrer dedans tant qu'elle veut, j'ai bien l'impression que j'airai pas mieux niveau contact physique avant un moment*

Les seuls mots qui sortirent de ma bouche c'etait :

- C'est sur ce banc que je t'ai offert cette bague...

Désignant le bijou au doigt de la jeune fille.
Je ne savais pas si elle allait comprendre...

Mizumi sourit en voyant le mec rougir, tellement mignon. Mais elle le perdit devans sa remarque. Elle regarda la bague et sourit génée. Il lui manquait une case ou quoi?

- Heu... Je suis désolée mais c'est mon copain qui me la offert cette bague. D'ailleurs, il doit bientot revenir. Je suis tellement contente. Je vais m'entrainer au violon pour lui montrer que je me suis améliorée.

Mizu joua avec sa bague, un sourire rêveur aux lèvres à l'idée qu'elle allait enfin voir son amour, le sentir...

Je baissais la tete. Je devais trouver quoi lui dire que seule elle savait de nous deux. Fallait que je trouve ! Je cherchais dans mes souvenirs, mais a cause de mon coma, certains souvenirs étaient effacés...
Je la pris par le poignet.

- Mizu ! Attends.

Je la tirai pour prendr son corps contre moi, et mis mon autre main sur sa nuque et je l'embrassais.

- Crois moi, je suis Alvyss... Je ne suis rien sans toi... Crois moi !

Je la regardais droit dans les yeux, j'esperai de tout mon coeur qu'elle me crois enfin

Mizumi poussa un cri quand le mec lui attrapa le poignet. Il était dangereux en plus. Elle se retrouva brusquement contre lui et embrasser en plus. Elle comprit pas ce qui se passait. Son coeur se mit à battre très fort. Et cette façon d'embrasser, elle la reconnaitrait entre mille. La jeune femme recula complètement paumer. C'était vraiment lui. C'était pas possible. Des larmes commencèrent à couler . Elle savait pas quoi faire ni quoi dire. Alors l'histoire dans le bureau était vrai.

Je la vis soudain se mettre a pleurer. Instinctivement je la serrai contre moi.

- Non Mizu ne pleure pas ! C'est vraiment moi, je suis la.

Je lui caressais les cheveux. Meme en ayant changé de forme physique, j'etais toujours plus grand qu'elle. Elle avait sa tete calée contre mon épaule. Des larmes coulaient de mes yeux tellement j'etais heureux. Je la serrai contre moi, apres plusieurs mois difficiles a vivre sans elle.

Mizumi pleura encore plus une fois coller contre son homme. C'était vraiment lui même s'il avait pas le même physique. Elle l'avait retrouvé. Elle regarda son chéri, caressant doucement sa joue. La jeune femme l'embrassa fougeusement et passsa ses bras autour d'elle.

- C'est vraiment toi. Tu m'as tellement manqué. J'ai cru que tu m'avais abandonné. tu es partit sans rien me dire et tu reviens dans cet état. Pourquoi?

Je soupirai en repensant a tout ca.

- Ca fesait quelques semaines que je recevais des messages de menace de la part de mon rival. J'ai fini par aller le voir. On a eu un combat physique, et il a fini par utiliser son pouvoir qui consiste a exaucer un de ces voeux, et il s'est trompé dans ces paroles heureusement pour moi. Je suis resté quelques mois dans le coma, et quand je me suis reveillé, j'ai passé encore un mois en etant amnésique, et quand tout m'est revenu, j'ai eu peur de revenir, j'ai cru que jamais tu arriverai a me croire, ou meme que tu pourrai ne pas aider cette forme que j'ai...

MIzumi s'enervait toujours un peu plus au parole de Alvyss.

- Tu es un abruti fini. Si tu recevais des lettres de menace tu aurais du m'en parler, j'aurais pu t'aider d'une quelconque manière. Et encore une chose, je m'en fiche de ton corps. Tu restes Alvyss malgré tout. Ce que j'aime chez toi c'est d'abbord ta façon d'etre, d'agir. Comment tu as pu croire que je m'arreterais à ton apparence. Je m'en fou complètement. élève ou prof, je t'aime.

Je souris et embrassa la jeune fille.
Puis je tiltais quelque chose.

- J'y pense ! Ces progres de violon ?

Je m'assis sur le banc juste derriere moi.

Mizumi se laissa embrasser avec joie. Ça lui avait tellement manqué ces moments avec son chéri. Elle sourit quand il parla du violon. Quand il fut assis, elle sortit son violon de sa trousse et commença à jouer. On entendait nettement ses progrès. Le son était fluide, doux. Aucune fausse note ne venait interrompre cette mangifique prestation. Quand elle termina, elle sourit encore plus.

- Tu as entendu? C'est beaucoup mieux qu'avant. Je fais plus d'accrochage comme avant quand je joue. J'ai aussi une petite amélioration en guitare mais dur d'apprendre seule à jouer. Je commence aussi à pouvoir lire les partitions même si il me faut encore du temps.

Quand elle joua, je fus prit d'une forte envie, je le serra contre moi et l'embrassai comme un fou.

- Tu m'as tellement manquée ! Je t'aime tant j'ai jamais cessée de penser a toi !

Je rougis.

- Tu dis quoi de ce corps...?

Mizumi se laissa aller dans ce baiser passionné. Elle fut plus qu'heureuse de s'etre déclaration. Elle posa son violon et passa ses bras autour de son homme.

- Tant que tu peux me serrer dans tes bras, m'embrasser, me donner de l'amour et de la tendresse et que c'est toi alors peut importe le corps ça me va. J'ai tellement envie de toi. J'ai pensé a toi tous les jours. J'espère te croiser dans les couloirs, que ti reviennes vers moi.

Elle sourit doucement.

je ris.

- La c'est clair qu'en eleve tu me verras encore plus dans les couloirs ! Ca me fais quand meme bizarre de devenir un élève d'un coup.

Je posais mes mains sur les hanches de ma belle qui avait ses bras a mon cou.

- Je me demande quand est ce que Kaola viendras me voir.

Je ris a nouveau.

[j'ai fais 3 soirées nuits blanches a faire la fete avec mes potes, je vais déco. Bonne nuit ma belle ! A demain soir ptet]

Mizumi sourit. C'est clair que redevenir un enfant doit être assez drôle. Surtout qu'il allait devoir commencer en première. Ça allait être un peu emerdant de retourner à l'école. Koala était toujours là quand on avait pas besoin d'elle mais quand c'était le cas personne. Pourtant, elle devait pas être très loin non plus. Mizu alla ranger son violon pour éviter qu'il se casse. Puis elle fit s'assoir Alvyss avant de prendre position sur ses genoux et commença à l'embrasser toridement en attendant que Koala fasse son apparition. Son cœur était tout léger maintenant qu'elle se savait en deuxième, que sa sœur était rentrée et son chéri de retour.

Mizumi était bien avec son chéri. Elle sursauta quand elle entendit une voix dans son dos. Elle se tourna et vit Ai. Oh mince. Ça devenait plus compliquer. C'était vrai que Ai regardait Alvyss suspectement. En même temps, elle comprenait. Mizu devait aimé Alvyss comme une dingue. Et c'était toujours le cas mais pour les autres ce mec était un inconnu. Comment justifier qu'elle se trouvait dans les bras d'un "autre". Elle pouvait pas dire que c'était le même Alvyss que le prof de musique. La jeune femme regarda Alvyss pour savoir quoi faire dans cette situation. Ça craignait profondemment. Elle n'avait pas pensé a la réaction des gens qui connaissaient pas la vérité.